Après 24 heures de pole sitting, le dos et le cul de Stef commencent à lui faire mal


Stef Langedijk de De Weere est assis sur un poteau au-dessus d’un fossé à Lambertschaag depuis 24 heures. Sans sommeil, sans arrêt sanitaire. Alors qu’il devait jouer à l’événement avec son propre groupe, il participe pour la deuxième fois à la tradition annuelle de Lambertschaag : le pole sitting. Comment va-t-il après 24 heures ?

Stef (à droite) est assis sur un poteau depuis 24 heures – Photo : NH Media / Michiel Baas

Vendredi après-midi 16h : Quinze osselets escaladent leur poteau, qui a été placé dans le fossé. Et les voilà, si tout va bien jusqu’à dimanche soir 20h36. Stef est tout à droite, au bout. Exactement au même endroit que l’année dernière, lorsqu’il a vécu son baptême du feu.

Il est prévu que 12 hommes s’assoient pendant toute la durée du trajet, les trois autres tas seront remplis de « remplisseurs de tas », qui s’occuperont d’une partie des plus de 52 heures.

« Qu’est-ce que j’ai avec moi ? Une veste et trois pantalons de toute façon. L’année dernière, je n’ai pas apporté de pantalon de ski et ma mère les a apportés plus tard. La nuit, il peut faire assez froid si vous restez assis au-dessus de l’eau. Aussi mon mobile, une banque d’alimentation et du Dextro Energy. Ça devrait faire l’affaire.

Vendredi soir 23h : C’est parti. « Nous avons pris un bon départ, même si le vent souffle toujours un peu. C’était agréablement occupé. Il y avait un groupe et un DJ qui jouaient. Je peux juste voir un peu dans la tente depuis mon poteau. Je regrette d’avoir été ici et pas encore, je n’avais pas encore la tente. Mais cela viendrait peut-être dimanche, le dernier jour.

Samedi 9h : Stef a passé une « bonne » nuit, sans dormir, bien sûr. « Même si c’était un peu ennuyeux, pour être honnête. Peu de gens sont présents la nuit, mais de la musique est jouée. Nous soufflons aussi des bulles et nous nous amusons avec un pistolet à eau. Il faut faire quelque chose, la distraction est très importante. Avec les deux garçons à côté de moi, je peux parler de choses, donc c’est bien. Ma mère aussi est venue tôt ce matin.

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Pole sitting à Lambertschaag – Photo : NH Media / Michiel Baas

Le premier abandon est déjà un fait. Stef : « On n’a pas le droit de sortir du poteau, même pas pour faire pipi ou déféquer. On fait ça depuis le poteau, via un tuyau en PVC. Il faut, sinon tu vas pisser dessus. Un participant n’était pas là donc gentil et a décidé d’arrêter. C’est calme ici maintenant, nous devons passer par le point mort. Je commence à sentir mon dos et mon cul maintenant. À partir de deux heures de l’après-midi environ, les gens reviendront et avec eux le primes. Alors vous ressentez beaucoup moins la douleur.

Samedi 14h30 : Quelques heures plus tard, il y a déjà beaucoup plus de plaisir sur le site. Un orchestre se forme, les spectateurs boivent une bière au soleil et l’organisation visite les participants en péniche et leur donne un pack de boissons et une mandarine.

Stef est toujours là. « Je me sens bien », ça sonne. Il était censé se produire avec son groupe Quick Response, mais le batteur a finalement donné la priorité à la tradition du pole-sitting. Il posa son téléphone et attrapa des baguettes de batterie. « Je vais tapoter avec le groupe plus tard, sur ma jambe. Distrait encore un peu. »

Un guest sitter de Heerenveen : « J’espère qu’ils ne me laisseront pas m’asseoir avant dimanche »

Avec une légère réticence, il prend place sur le poteau, sous lequel son badge est affiché. Maikel Moorman sera président invité à Lambertschaag samedi, au moins pour un certain temps. « Je viens d’Abbekerk, mais j’habite à Heerenveen depuis 10 ans. Je me marie dans deux semaines et aujourd’hui j’ai mon enterrement de vie de garçon. Quand j’avais 16 et 17 ans, j’ai participé au Pole Sitting et maintenant j’ai eu se rasseoir. Bon, d’accord alors.

Ses amis regardent avec satisfaction leur copain subir son sort. « Ils disent que ce sera le pire de la journée, alors tu sais. Combien de temps dois-je rester assis ? J’espère pas avant demain soir. »

Chaise d’invité Maikel Moorman – Photo : NH Media / Michiel Baas

Ceci est un message des rédacteurs en chef conjoints de la Frise occidentale

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