Évitez les extensions supplémentaires et les renouvellements automatiques, et recourez plutôt à « des méthodes d’attribution compétitives pour les concessions maritimes, lacustres et fluviales ». C’est le rappel inclus dans un rapport que l’Antitrust a envoyé à l’ANCI et à la Conférence État-Régions, dans lequel il est souligné que « l’utilisation continue » des extensions viole les principes de la concurrence et « favorise les effets de distorsion liés à une position injustifiée ». revenus attribués aux concessionnaires ». L’Autorité exhorte donc les entités « à veiller à ce que toutes les procédures sélectives d’attribution des nouvelles concessions soient réalisées dans les meilleurs délais » et que l’attribution « intervienne au plus tard le 31 décembre 2024 ».

Alors que les concessionnaires des plages étaient divisés sur le lock-out parapluie du 9 août, le gouvernement travaille sur le nouveau plan à soumettre à la Commission européenne. Après une série de discussions confidentielles avec différents membres de la majorité, une hypothèse de travail semble avoir surpassé les autres en la matière et une ébauche est prête. Les détails, anticipés par Il Sole 24 Ore, comprennent un mécanisme structuré de dates, comprenant des procédures d’appel d’offres et de nouvelles prolongations. Dans le cas minimum, les concessions en cours resteraient valables jusqu’au 31 décembre 2025, dans le cas extrême jusqu’au 31 décembre 2029.

Actuellement, selon le gouvernement, malgré les arrêts du Conseil d’État et les conclusions de l’UE, les concessions existantes sont en vigueur jusqu’au 31 décembre 2024 ou jusqu’à fin 2025 en présence de raisons objectives qui empêchent la conclusion de l’accord. appels d’offres. Le texte étudié va plus loin. Il prévoit de nouveaux critères pour lancer les appels d’offres conformément au droit de l’UE, mais prévoit une première prolongation directe, jusqu’au 31 décembre 2025. Cependant, cela ne suffit pas. Dans le même temps, si cette ligne discutée ces derniers jours passe, le gouvernement entend relancer le travail de cartographie côtière, en intégrant la première version comme demandé par Bruxelles à la fois avec des données désagrégées sur une base régionale et avec des données qualitatives : c’est-à-dire qu’elle Il ne suffit pas de dire qu’il existe des plages gratuites, mais il faut comprendre si elles sont réellement accessibles, si elles sont attractives pour de nouveaux revendeurs potentiels.

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