Angelina Jolie est derrière la plaignante Jane Doe, qui a intenté une action en justice contre le Bureau for the Freedom of Information Act


Non.Il n’y a pas mis son visage ou son nom, Angelina Jolie. Mais il n’a pas raté l’occasion d’accuser à nouveau Brad Pitt. Elle est en fait la plaignante dans un procès contre le Bureau for the Freedom of Information Act. Et elle demande pourquoi l’agence a fermé une enquête sur une agression en 2016 contre son mari de l’époque.

Mais a choisi la forme anonyme : le nom de Jane Doe apparaît en bas de la demande. Nom utilisé, avec le masculin John, pour couvrir les personnes qui préfèrent rester anonymes, en particulier dans des contextes juridiques (l’utilisation remonte à l’Angleterre du XIIIe siècle). Mais cette Jane Doe n’est qu’elle.

Ce voyage en avion en 2016 : que s’est-il passé ?

L’épisode dont la diva demande une nouvelle fois des comptes remonte à 2016. Et à un voyage en jet privé du couple accompagné de leurs six enfants voyageant de la France vers les Etats-Unis. Jolie avait affirmé que Pitt l’avait « agressée physiquement et verbalement » elle et les garçons pendant le vol. Il a dit à un agent fédéral qu’il était « fou ». Qui s’était déchaîné, avait donné plusieurs coups de poing dans le plafond de l’avion en criant « tu ruines cette famille ».

Six jours plus tard, elle a demandé le divorce

Pitt aurait attaqué un de leurs enfants, elle l’a défendu et s’est blessée au coude. Puis l’actrice l’a accusé d’avoir renversé de la bière sur elle à un autre moment du vol.

Six jours plus tard, Angelina Jolie demande le divorce.

Et pourtant, le procureur adjoint américain, qui avait rencontré l’agent fédéral en novembre 2017, avait décidé de ne pas donner suite à la plainte contre Pitt.

Angelina Jolie (anonymement) poursuit le FBI

Une décision contre laquelle Angelina Jolie s’est insurgée. Il a intenté une action en justice anonymement en déposant une FOIA, Freedom Of Information Act, contre le FBI lui-même, pour obtenir les documents de l’enquête que les fédéraux menaient sur Brad Pitt.

Mais si la demande est anonyme, l’avocat qui suit la pratique est un nom de cri : Amanda Kramer de Covington & Burling. De quoi attirer l’attention des médias américains. Acculé, l’avocat Kramer avait tenté de se cacher derrière des déclarations évasives ces dernières semaines: « Je ne peux pas commenter l’identité de Jane Doe, elle le fait pour préserver l’intimité de la famille. » Ce n’était pas assez. Maintenant, l’identité du plaignant est connue et fait l’actualité.

Une révélation qui jette nouveau carburant sur le feu du divorce VIP avec les pires suites judiciaires de l’histoire.

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