ANALYSE. Open Vld prend ses distances avec Vivaldi, mais veut délivrer le premier ministre : l’image d’un parti avide de pouvoir qui veut simplement être dans « un » gouvernement

« Le bilan réformateur du gouvernement Vivaldi est décevant dans de nombreux domaines cruciaux, d’autant plus qu’il est dirigé par un Premier ministre libéral », analyse le politologue Carl Devos. « Il y a de plus en plus d’agacement à ce sujet au sein d’Open Vld, mais leur suppression de Vivaldi n’est qu’une autre tentative de trouver une réponse à la tendance à la baisse de leur parti. » Selon lui, même les meilleurs barreurs à terre ne peuvent plus conseiller le groupe sur la manière d’échapper à la misère.


Carl Devos


Dernière mise à jour:
18h39











ttn-fr-3