ANALYSE. Ils ont commencé avec 6 milliards, dilués à 2 milliards et maintenant il s’agit toujours d’un « mini-tax shift »

A moins de cinq jours de l’échéance, le pessimisme monte dans la Wetstraat. En raison des veto mutuels, la réduction d’impôt promise se réduira à moins de deux milliards d’euros. Une remise qui doit être payée principalement par de nouveaux revenus, par exemple avec une taxe sur les jeux de hasard et d’argent. En attendant, une lueur d’espoir apparaît inopinément à l’horizon : cela va-t-il encore lubrifier l’accord espéré ? Et qu’implique cette éventuelle « réforme fiscale légère » ?



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