« Le village est oet », cela est devenu soudainement possible lorsqu’on a acquis un cyclomoteur à l’âge de seize ans. L’un a dû travailler dur pour y parvenir, l’autre avec le soutien de sa famille. Mais une chose était sûre : on pouvait découvrir le monde immense en tant que jeune rural.

Le cyclomoteur comme symbole de liberté.

Trois hommes qui savent mieux que quiconque ce que signifie cette liberté sont Arie, Martin Salomons et Egbert Swierts. Ce qu’ils faisaient quand ils étaient jeunes, « bricoler » des cyclomoteurs, est quelque chose qu’ils font encore aujourd’hui. Mais avec une précision militaire. Mieux, plus dur et plus rapide.

En plus de vendre des scooters et des cyclomoteurs, les hommes sont impliqués depuis des années dans les courses de 50 cm3. Des scooters, cyclomoteurs, machines à chenilles en herbe au cross classique. « Il est extrêmement difficile de faire fonctionner correctement une 50cc », explique Martin Salomons. « Le chemin le plus facile est celui des gros cylindres et des gros moteurs, mais le mieux est d’obtenir beaucoup de vitesse et de puissance avec un si petit cyclomoteur. Pour mesurer cela dans la concurrence avec d’autres : où en sommes-nous ? En fait, dans commande. »

Découvrez toute l’histoire de Salomons et Swierts ci-dessous.



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