L’audit a eu lieu dans le cadre d’une enquête contre deux policiers, qui doivent comparaître devant le tribunal correctionnel à la mi-octobre. Des questions ont été soulevées sur la manière dont la zone de police gère l’intégrité.
L’audit montre, entre autres, que les amis et la famille des agents ont été informés à l’avance des radars. L’enquête pénale contient également des preuves d’amendes manquantes. Des agents auraient également aidé un exploitant de station-service à faire face à des défaillants, mais sans qu’aucun procès-verbal n’ait été établi. Cela ne fonctionnait donc pas selon les règles.
Il existe également des indications de conversations WhatsApp racistes sur les citoyens. Selon le Comité P, cela peut également être lié à l’utilisation de la violence non autorisée par certains employés contre des groupes ou des communautés spécifiques.
Le Comité P a finalement lancé treize recommandations. L’une des choses qui doivent être faites est une politique d’intégrité.
Les conseillers de police ont pu consulter l’audit il y a deux semaines après que les maires de Saint-Trond, Gingelom et Nieuwerkerken et le chef de la police de la zone de police ont d’abord jugé que le rapport n’était pas encore destiné aux yeux des conseillers. Un e-mail du Comité P lui-même a finalement révélé le contraire, après quoi le conseil de police a été autorisé à consulter l’audit et à en discuter lors d’une réunion supplémentaire.