Allocations de chômage et aides qui seraient versées même si le travail n’avait pas été perdu (comme le congé de maternité)


Tbeaucoup le Revenu de base, le gouvernement tente d’indemniser les chômeurs avec des primes. En fait, outre les arguments très controversés Allocation d’inclusion liée à la mise en place d’aides à la formation professionnelle, ceux qui n’ont plus d’emploi peuvent compter sur d’autres aides.

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Primes de chômage : mais combien y en a-t-il ?

Les soutiens dédiés aux personnes ayant perdu leur emploi peuvent être divisés en deux groupes. D’une part, il y a les prestations de chômage qui peut être demandé après avoir perdu votre emploi pour des raisons indépendantes de votre volonté. D’un autre côté, il y a ces aides, comme le congé de maternité ou le congé de mariage.qui serait payé même si l’œuvre n’avait pas été perdue.

Toutes les allocations

En ce qui concerne le prestations de chômagec’est-à-dire ces prestations d’aide au revenu pour ceux qui se retrouvent soudainement sans travail, comme prévu, il existe diverses mesures.

En attendant, c’est là allocation de chômage NASpl. Ceci est reconnu aux travailleurs salariés qui ont cumulé au moins 13 semaines de cotisation au cours des 4 dernières années. Le paiement est mensuel, pour un nombre de semaines égal à la moitié des semaines de cotisation des quatre dernières années.

La mesure de la performance est égal à 75% du salaire moyen perçu au cours de la période de référence si le salaire est inférieur à 1 352,19 euros pour 2023. Si le salaire moyen est supérieur, il s’ajoute 25% pour la partie résiduelledans la limite de 1 470,99 euros. L’allocation chômage est versée pendant une durée égale à la moitié des semaines de cotisation accumulées au cours des 4 dernières années, donc pour un maximum de 24 mensualités.

Le gouvernement essaie d’indemniser les chômeurs avec des primes et, en plus de l’allocation d’inclusion, ceux qui n’ont pas de travail peuvent au moins compter sur d’autres aides. (Getty)

Qu’est-ce que Dis-Col

Ensuite il y a l’allocation de chômage Dis-Coll semblable à Naspi, mais réservé aux collaborateurs coordonnés et continus en cas de rupture d’une ou plusieurs collaborations. Le Dis-Coll démarre à partir du huitième jour suivant la fin de la relation de collaboration. Il est payé mensuellement Et la durée maximale ne peut excéder 12 mois. L’utilisation est conditionnée à la recherche active d’un nouvel emploi par le bénéficiaire. Le montant du Dis-Coll est égal à 75% du revenu mensuel moyen, s’il est égal ou inférieur à 1 352,19. euros et ne peut en aucun cas dépasser un montant maximum qui évolue chaque année. A partir du sixième mois d’utilisation, l’indemnité est réduite de 3% chaque mois.

Allocation de chômage SAR

Il existe toujours l’allocation de chômage SAR, ou Income Support, l’une des contributions les moins connues, mais certainement parmi les plus utiles pour ceux qui ont perdu leur emploi. En résumé il s’agit d’un paiement garanti aux travailleurs intérimaires ou intérimairesdont les contrats n’ont pas été renouvelés.

À ces travailleurs, une prime brute de 1 000 euros est accordée s’il est au chômage depuis au moins 45 jours après avoir accompli au moins 110 jours de travail au cours de la dernière année. 780 euros en cas de chômage pendant au moins 45 jours après avoir terminé la démarche MOL, dans « Manque d’opportunités d’emploi ». Les deux sommes sont versées après chaque expiration du contrat.

La prime aux chômeurs agricoles

Enfin il y a l’indemnisation du chômage agricole pour les travailleurs agricoles salariés. Il s’agit d’une mesure réservée, due pour un nombre de jours égal à ceux travaillés dans la limite maximale de 365 jours par an. LE les exigences à respecter sont inscription sur les listes nominatives des travailleurs agricoles salariés, 2 ans d’ancienneté à l’assurance contre le chômage involontaire et au moins 102 cotisations journalières pendant la période de deux ans. Le montant est égal à 40% du salaire de référenceavec retenue de 9% à titre de contribution de solidarité.

Les mesures qui ne changent pas

Parmi les primes qui sont dues aux chômeurs, comme prévu, il y a le maintien des outils de protection qui auraient été reconnus pendant le travail. J’en suis un exemple prestations de maladie qui est due en cas de maladie constatée par le médecin dans les 60 jours suivant la rupture du contrat de travail.

Le congé de mariage qui s’applique à ceux qui, dans les 90 jours précédant le mariage ou l’union civile, ont travaillé pendant au moins 15 jours à l’emploi d’entreprises industrielles, artisanales ou coopératives. Ils ont droit à une allocation en remplacement du congé de mariage avec un montant variable selon le secteur d’activité et la qualification (par exemple pour les ouvriers cela équivaut à 7 jours de salaire).

Finalement, le congé maternité qui est également due aux femmes au chômage au moyen d’une allocation tenant lieu de congé de maternité obligatoire d’une durée de 5 mois, à condition qu’il ne se soit pas écoulé plus de 60 jours entre la suspension du travail et le début du congé. Pour les travailleurs qui ne satisfont pas aux conditions susmentionnées et ne bénéficient pas de couverture contributive, il y a la possibilité de demander le prime de maternité à la Commune. Cette aide s’élève cette année à 1 917,3 euros, à condition d’avoir un ISEE inférieur à 19 185,13 euros.

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