Aujourd’hui, l’Espagnol de 20 ans joue pour la première fois au Foro di Roma et sera de retour en tant que non. 1 : « Je n’ai peut-être pas l’air humble, mais c’est mon rêve et j’ai le devoir d’essayer de le réaliser »
Tout ce qu’il touche se transforme en or. A Rome, cependant, Carlos Alcaraz n’était jamais venu. Un territoire inexploré, dans la maison de « l’ennemi » Sinner, qui n’est pas vraiment un ennemi, au contraire. Les deux se respectent, s’aiment et savent que tout le monde attend, ou du moins rêve, d’une finale entre les deux rejetons de la nouvelle génération. Dans la capitale, Carlitos a été très bien accueilli. Un amour transversal, inconditionnel avec lequel peut-être seul Roger Federer dans un passé plus récent avait réussi à unir les gens du tennis.