Albert Verlinde n’aime pas la manière dont Humberto Tan a interviewé le nouveau Premier ministre de notre pays. « C’est débile, je pense que oui… Je n’aime pas ça », a déclaré l’expert du spectacle.
Cela fait presque deux ans qu’Albert Verlinde a été reconnu coupable de diffamation pour avoir lié à tort Humberto Tan aux abus commis au sein de The Voice of Holland. Albert pensait que tout cela était terriblement inutile ; il regrette que son collègue de télévision n’ait pas voulu engager la conversation. Le connaisseur du spectacle a donc encore un problème à résoudre.
Albert critique
Albert s’en prend maintenant à Humberto à cause de la première interview télévisée qu’il a réalisée avec Dick Schoof, le nouveau Premier ministre de notre pays. « Vous êtes un journaliste de La Haye », explique-t-il L’été orange pour Sam Hagens. « Que pensez-vous d’Humberto, qui a notre Premier ministre à la table ?
La manière dont Humberto s’est adressé au Premier ministre a suscité de nombreuses critiques. « Nous nous sentons tous unis, nous gagnons, nous sommes sixièmes au monde et j’ai entendu Dick Schoof dans de nombreuses interviews. Il est impliqué dans tout et connaît tous les athlètes. Et puis on vous demande si ce n’est pas hypocrite de rester là.
« Très justifié »
Le journaliste politique Sam Hagens soutient Humberto. « Une question très juste. Je pense qu’Humberto a fait du très bon travail lors de cette interview.
Albert perplexe : « Tu pensais vraiment ça ?
Jack van Gelder, invité à la table : « Question complètement ridicule. »
Sam : « Je pense que c’est une question très juste. C’est un journaliste, n’est-ce pas, Humberto ? Si vous avez le Premier ministre, vous devez poser une question cruciale, n’est-ce pas ? »
Pas critique
Jack pense que c’est absurde. « L’homme est maintenant là à la suite des élections, l’homme est le visage des Pays-Bas en ce moment, donc il n’est pas surprenant qu’il soit là comme carte de visite ? Supposons qu’il n’ait pas été là !
Sam : « On dit toujours d’Humberto qu’il n’est pas assez critique et puis il l’est et puis ce n’est pas permis ! »
Albert : « Je pense… C’est le ton ! Vous pouvez également dire : « Maintenant, je vous entends parler de sport et à quel point c’est merveilleux, cela ne vous fait-il pas mal de réduire vos dépenses ? » Cela ne vous dérange pas ? »
Compatissant
Sam peut y entrer. « Un peu plus compatissant. Cela pourrait très bien être le cas, oui.
Albert : « C’est en fait la même question, mais d’une manière complètement différente. Ça : baf, je pense que oui… je n’aime pas ça.
Jack : « Je ne m’attends pas non plus à cela de la part d’Humberto, que je connais depuis si longtemps. Je pense que c’est trop facile de le mettre au pilori à ce moment-là.