Adieu à Arianna, Costanza et Rosalia.


F.fin de saison pour Plus fort que le destin. La série costumée – remake à la française Le Bazar de la CharitéDisponible sur Netflix avec le titre Des destins en feu – ferme ce soir Canal 5 à 21h20, avec le quatrième et dernier épisode.

Arianna, Costanza et Rosalie ils poursuivent leur combat pour l’indépendance et la liberté, mais les derniers bouleversements risquent de mettre leur vie en danger.

Plus fort que le destin: l’intrigue du dernier épisode

Il part du scénario ouvert pararrestation de Libero (Leonardo Pazzagli), qui risque maintenant d’être condamné et pendu. En fait, faire porter la responsabilité de l’incendie qui a dévasté Palerme aux anarchistes est la solution parfaite pour protéger les vrais coupables.

Le courage d’Ariane

Loin de tout le monde, la seule personne qui puisse vraiment l’aider est Comtesse Costanza Di Giusto (Dharma Mangia Woods). La femme décide de parler à la presse pour tenter de sauver l’homme qu’elle aime. Un geste noble, qui met pourtant en rage Guglielmo di San Martino, duc de Villalba, incarné par Thomas Trabacchi.

Aussi, le geste risque de causer des ennuis à son père, Augusto (Paolo Sassanelli), écrasé de dettes et peut-être le véritable coupable de l’enjeu. Le soir de l’incendie, en effet, les flammes ont éclaté du cinéma qu’il avait lui-même amené dans la ville. tuune circonstance apparue récemment et qui risque de le submerger.

Lorette Goggi. (Médiaset)

La vengeance d’Antonio

A ce scénario néfaste s’ajoute une autre circonstance négative : le mariage entre la fille et le marquis d’Entella Antonio Moncada (Teodoro Giambanco) est annulé. C’est Antonio lui-même qui l’a décidé après avoir vu Costanza embrasser Libero, et c’est toujours lui qui l’a traduit en justice, afin de se venger.

Autre que crise : Laura Chiatti et Marco Bocci ensemble sur le plateau

Autre que crise : Laura Chiatti et Marco Bocci ensemble sur le plateau

Arianna veut sauver Camilla et elle-même

en attendant Arianna (Giulia Bevilacqua) elle a perdu l’homme avec qui elle espérait refaire sa vie, Saverio Mancuso (Stefano Rossi Giordani), tuée par son mari Guglielmo. Puis reviens dans la maison conjugale, mais Guillaume la retient prisonnière. Têtue et déterminée à échapper bientôt aux griffes de son mari, elle parvient à embrasser à nouveau sa fille Camille. Il promet à la jeune fille qu’ils vont bientôt s’enfuir ensemble, loin de Palerme et de cette cage dorée.

Aussi Rosalia (Laura Chiatti) est prisonnièremais de la marquise de Buonvicino, Donna Elvire (Loretta Goggi), qui l’a forcée à assumer l’identité de sa fille Margherita (Francesca Valtorta), décédée dans l’incendie. De plus, il est récemment revenu Ferdinando Pennisi di Carini (Davide Paganini), le mari de sa fille, qui ne remarque pas l’échange d’identités.

Rosalia retrouve son mari Giuseppe

Au palais, Rosalie (Laura Chiatti) fait face à un autre problème. Pennisi a récemment embauché le nouveau cocher, Giuseppe Catalano (Giovanni Anzaldo), le mari que la femme croyait mort dans les flammes qui se sont déclarées le soir qui ont dévasté la ville.

Enfin, Donna Elvira organise une magnifique fête. Et pendant l’événement, en présence de l’aristocratie palermitaine et des représentants les plus éminents et les plus puissants de la ville, Rosalia fait une révélation inattendue qui risque de bouleverser l’équilibre déjà précaire.

plus fort que le destin anticipait le dernier épisode final

Giulia Bevilacqua et Laura Chiatti. (Médiaset)

Trois héroïnes plus fortes que le destin

Plus fort que le destin est une série de costumes qui raconte l’histoire de la société sicilienne de la fin du XIXe siècle, mais raconte aussi une histoire d’émancipation des femmes. Au fil des épisodes, les trois protagonistes ont grandileur rôle s’est renforcé au sein de l’histoire, au point de devenir le pivot autour duquel s’articule tout le récit.

L’incendie fait s’effondrer leurs certitudes avec la même rapidité avec laquelle le pavillon dans lequel les flammes se sont déclarées a été détruit, mais peut-être représente-t-il aussi une bouée de sauvetage pour leurs personnalités non conformistes. Ils sont les seuls, en effet, à se rebeller contre les injustices de la société de l’époque et chacun des trois essaie de tout faire pour réussir.

Ils savent que le prix à payer sera très élevé, mais ils ne baissent pas les bras. Au contraire, elles sont prêtes à affronter des hommes sans scrupules et à trahir leur famille pour ne pas trahir leurs idéaux.

Libéro (Leonardo Pazzagli).

Commissaire Marchesi, le seul homme de leur côté

Dans ce contexte, le seul homme à prendre leur parti est le commissaire Marchesi (Sergio Rubini). Il est aussi le seul à mettre les points ensemble et à comprendre que la chasse au libéro par les nobles n’est qu’un prétexte pour trouver un coupable et ainsi lever tout soupçon.

Un personnage moderne, qui se détache du machisme de l’époque. Un homme qui croit fermement en valeurs d’honnêteté et de dignité. Et justement au nom de la dignité, lorsqu’il est arrêté pour complicité contre Libero, il déclare avec beaucoup de courage : « Un policier comme moi préfère mourir debout que vivre à genoux devant le pouvoir.

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