Promouvoir la formation, les études et le travail prison comme outil de réinsertion sociale et réduction de la récidive. Renforcer le système de certification du travail effectué au sein des institutions pénitentiaires, pour certifier les compétences qui peuvent être utilisées dans le monde productif également à travers des méthodes numériques, en fournissant une mise à jour par rapport aux évolutions en cours dans le système national de certification des compétences. Tels sont les objectifs deaccord trouvé entre le Cnel et Assolavoroqui a été précédée d’un accord conclu ces derniers mois entre l’organisme dirigé par Renato Brunetta et le ministère de la Justice.
La Cnel impliquera les partenaires sociaux et le tiers secteur
En particulier, la Cnel exercera une fonction d’implication systématique des organisations patronales, syndicales et du tiers secteur représentées en son sein, avec une collaboration visant à diffuser les conditions de formation et à professionnaliser le travail pénitentiaire, qui assure la croissance des compétences personnelles. données des détenus. En outre, le Cnel et Assolavoro collaboreront pour évaluer l’introduction d’incitations à l’emploi visant à encourager l’embauche d’anciens détenus et identifier des ressources spécifiques pour financer des formations en prison.
Brunetta : la réinsertion des détenus dans le travail au bénéfice de toute la communauté
«Cet accord – a commenté le président du CNEL, Renato Brunetta – représente un pas en avant important en termes de formation des détenus et de réinsertion au travail, comme outils fondamentaux pour réduire le risque de récidive. Atteindre cet objectif met pleinement en œuvre un principe constitutionnel et profite à l’ensemble de la communauté, apportant une valeur ajoutée également en termes de cohésion sociale et de développement économique.
Assolavoro identifiera les compétences les plus demandées par les entreprises
Assolavoro, à travers les agences pour l’emploi associées, entreprendra des analyses des besoins d’emploi des entreprises présentes sur les territoires, en identifiant les compétences les plus demandées, à développer à travers le système de formation et de reconversion professionnelle des détenus, dans le but de répondre à l’évolution de l’emploi. profils et besoins des entreprises.
Baroni : accord avec une portée plus large en faveur des plus défavorisés
Francesco Baroni, président de l’association nationale des agences pour l’emploi, a souligné que « nous avons toujours été à l’avant-garde dans la promotion de parcours d’inclusion même pour les personnes défavorisées qui connaissent des conditions de difficulté, de fragilité ou d’inconfort et, entre autres, de nombreuses agences d’Assolavoro sont déjà impliqué dans le monde des prisonniers. Cette collaboration avec le CNEL, qui a toujours été un lieu d’échanges de haut niveau et de proposition de solutions nouvelles, pourrait avoir une valeur plus large au bénéfice de tous les sujets les plus défavorisés ».