À ne pas manquer "Nature fragile. Quand les mots ne suffisent pas" Et "Gianni Berengo Gardin. Des choses jamais vues. Photographies inédites"


La culture comme cure (de l’âme), la cité de la nature, celle des trésors cachés sont le leitmotiv des expositions de Festival photo de Brescia.

A commencer par le projet Lumière de la montagne (jusqu’au 25 juin, mais d’autres viendront d’ici l’été), 120 clichés où le noir et blanc prédomine, signés par quatre photographes aux approches différentes.

Il y a les photos de Vittorio Sella qui célèbrent la majesté des Alpes et des Dolomites mais aussi du Tibet, du Karakorum, du Caucase ; ceux du Péruvien Martín Chambi (imprimés à partir des plaques de verre originales) avec les premières vues du Machu Pichu mais aussi les touchants portraits des populations andines ; ceux de l’allemand Axel Hütte, grand voyageur et maître dans le reportage « le détail » ; ceux des USA Ansel Adams, dédié à la nature intacte et les paysages à couper le souffle de la nouvelle frontière.

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Axel Hutte, « Groupe Presanella », 2022 (© Axel Hutte).

A ne pas manquer au Mo.Ca-Centre des nouvelles cultures, Nature fragile. Quand les mots ne suffisent pascollectif qui témoigne des inondations, tremblements de terre, ondes de tempête en Italie (jusqu’au 18 juin) e Gianni Berengo Gardin. Des choses jamais vues. Photographies inédites (jusqu’au 21 mai).

INFO: Brescia, Musée Santa Giulia et autres lieux, jusqu’au 27 août.
bresciamusei.com

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