A l’occasion de la Journée du cancer du sein métastatique, nous braquons les projecteurs sur le sujet trop souvent oublié de la sexualité des patientes


LELe cancer du sein métastatique est préoccupant en Italie environ 37 000 femmes chaque année. Ce sont des patients qui font face à des parcours complexes, chacun avec des nuances et des situations différentes. Ils ont cependant en commun problèmes psychologiques et physiologiques qui concernent sphère d’intimité et qui interrogent le relation avec votre corps, avec féminité, avec l’image qu’ils ont d’eux-mêmes. A l’occasion de la Journée du cancer du sein métastatique qui a lieu le 13 octobredécouvrons comment les patients peuvent retrouver leur bien-être sexuel.

Prévention du cancer du sein : les tests à faire

Sexualité niée

« Souvent l’agenda du patient n’est pas le même que celui des médecinsnotamment sur des sujets qui ne sont pas considérés comme « de première importance » pour la définition de la thérapie comme sexualité. En fait, les patients confirment que dans la plupart des unités mammaires, il n’y a pas de chemin dédié à cet aspect », souligne-t-il Rosanna D’Antona, président de Europe Femme Italie. Le thème de la sexualité se confirme comme fondamental, même si presque pour tous les patients presque oubliés et mis de côtéen deuxième position par rapport à priorité de la maladie, des traitementsde la gestion complexe de sa vie après la maladie.

Cancer du sein et besoin d’intimité

D’une part, les patients mettent en garde un profond besoin de récupérer sa sexualitéreprendre contact avec votre corps et avec une partie importante de lui-même, élément vital de lui-même, de son propre l’identité féminine et la relation de couple. De l’autre côté il y a la gêne, la honte, la peur pour aborder un sujet intime, très personnel, peu abordé par les autres, rarement abordé par les médecinsc’est-à-dire souvent aussi par des psychologues, lorsqu’ils sont présents, considéré comme un aspect presque culpabilisant. Ceci est confirmé par les résultats d’une étude qualitative qui vient de se terminer par Europa Donna, en collaboration avec IQVIA.

La campagne de sensibilisation

Dans ce scénario Pfizerengagé en faveur de l’amélioration de la santé et du bien-être des personnes ayant des antécédents de cancer, a choisi de promouvoir en octobre, « La voix de l’intimité | Sexualité et cancer du sein : on peut en parler ». Le but est sensibiliser et informer chez les femmes atteintes d’un cancer du sein métastatique sur le thème de la sexualité, si importante pour leur bien-être en tant que personne. Une initiative qui parle non seulement aux patients, mais aussi à leurs partenaires et médecinscar le silence sur cette question très importante est également alimenté par cette dernière.

La campagne débutera le Le 13 octobre le Facebook, LinkedIn Et Youtube par Pfizer Italie. Ils suivront ensuite deux événements à huis clos à Milan et Rome, les 25 et 31 octobre, toujours en collaboration avec les associations de patients et dédié aux femmes traitées pour un cancer du sein métastatique. Pour eux la possibilité de rencontrer une équipe multidisciplinaire composée, entre autres, du Professeur Chiara Simonelli, Sexologue et professeur agrégé àUniversité La Sapienza de Romeet le Docteur Eléonora Preti de l’Unité de Gynécologie Préventive du OIE.

Les impacts au premier plan

On parle aussi d’affectivité dans la campagne « C’est le temps de la vie »promu par Novartis en collaboration avec Onlus sur la santé des femmes. Quatre patients racontent leur histoire dans podcasts vidéo conduit par Stefania Andréoli, psychothérapeute et consultant scientifique du projet. L’une d’elles, Chiara, parle d’affection : Quand la peur entre en jeu, comment vivez-vous l’amour ? En tant que mère, compagne, fille et amie, elle parle du diagnostic de cancer du sein avancé qu’elle a rencontré sur son chemin à seulement 34 ans. La vie bascule et doit commencer à revoir ses affections, à donner des priorités. Parmi les relations qui se sont le plus renforcées, il y a celle avec mon fils, grâce avant tout à un lien de confiance mutuelle : « Il m’a posé des questions et je lui ai répondu, dans un climat de confiance totale. Je suis son point de référence. Il est important pour moi, moi pour lui. Nous nous tenons la main» conclut le patient. Vous pouvez écouter son histoire et celle d’autres femmes sur Facebook Et Instagram c’est la durée de vie.

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