Cela pourrait se produire, par exemple, si trop d’acteurs du marché s’appuient sur le même modèle d’IA, indique-t-il. Ou si le modèle logiciel est confié à un grand groupe technologique qui n’est pas soumis à la réglementation et au contrôle financiers.

« L’économie de réseau dans l’IA rend un scénario de crise presque inévitable », cite le journal, le PDG de la SEC. Les conséquences pourraient se faire sentir sur les marchés financiers, mais aussi dans le secteur immobilier par exemple. Gensler préconise davantage de coopération entre les différents superviseurs.

Les logiciels basés sur l’IA sont de plus en plus utilisés dans les services financiers, non seulement pour les conseils automatisés mais aussi pour les transactions sur actions, par exemple.

REGARDER. Paul D’Hoore répond aux questions sur les intérêts et les obligations d’État :



ttn-fr-34