Le centre de la Drenthe voit à nouveau des opportunités pour les parcs solaires : « Applications pour plus de 1 000 hectares »

La commune de Midden-Drenthe voit des opportunités pour relancer la construction de parcs solaires sur son territoire. En raison de la capacité limitée du réseau électrique, les projets de production ont été récemment au point mort.

Maintenant que les gestionnaires de réseau augmentent leurs capacités, la commune ose à nouveau regarder vers l’avenir. Aucun manque d’intérêt. La municipalité a reçu de nombreuses demandes de développeurs de projets de parcs solaires, totalisant plus de 1 000 hectares.

“Mais sur la base des ambitions actuelles, nous avons besoin de 60 à 90 hectares”, précise la municipalité. Cela signifie que les objectifs pour 2030 doivent être atteints dans le domaine de la production d’énergie.

Les zones prometteuses pour les parcs solaires sont deux zones autour des (futures) stations de transformation. Ici, les parcs solaires peuvent être connectés au réseau. Ceux-ci sont situés autour de l’A28 au nord de Beilen et autour de la montagne VAM. Parce qu’ils sont proches du raccordement au réseau, les coûts de pose des câbles sont inférieurs et ont moins d’impact sur l’environnement.

Les habitants du centre de la Drenthe doivent être impliqués dans la construction des parcs. Les initiateurs d’un parc sont tenus de discuter de la conception du parc avec les résidents locaux.

L’environnement doit également bénéficier financièrement du parc. La municipalité vise une propriété locale de 50 pour cent, par exemple en autorisant dès le départ les coopératives énergétiques locales à être copropriétaires d’un parc solaire.

La municipalité ouvrira les inscriptions l’année prochaine. “Il s’agit d’une sorte de concours de beauté pour les projets solaires terrestres qui nécessitent un permis environnemental.” La municipalité précisera plus en détail les raisons pour lesquelles elle décidera où des parcs solaires pourront être implantés dans un avenir proche. “Par exemple, il est concevable que l’on fasse une distinction entre les terres à faible qualité agricole et les terres à haute qualité agricole.”



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