Le quatuor de Manchester aborde rarement le pastiche de Tindersticks. Au contraire, sa gamme de styles est à la fois élargie et concentrée. Une grande importance ? Pourtant, mais ils savent quand les choses rentreront dans l’ordre. L’emo-pop haut de gamme se déploie avec presque réserve dans dix chansons jamais redondantes. « Royal Blue » s’expose dans un décor folk trad de 2:28, l’hymne « One Shot » le contrecarre immédiatement.
Ce qui est délicat avec l’amour
La chanson titre est une ode à l’amour (pas seulement subtil). « Builder Boy » (production invitée : Joshua Burnside) émeut l’amour en période de dépression. Et le baryton de Rob Goodwin chante aussi : « Je prendrai le blâme si nous le laissons filer. » Est-il utile de penser à la fin dès le début ? C’est une chose délicate, celle de l’amour.
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S’il vous plaît, pas encore onze ans avant les prochaines chansons !
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