Dans ‘Koloniekind’, l’écrivaine Mariët Meester évoque le village judiciaire de Veenhuizen. “Je ne tomberai jamais amoureuse d’un homme propre et bien rangé”

La première image que l’écrivain Mariët Meester (63 ans) a des prisonniers de Veenhuizen est la façon dont ils se rendent à l’église le dimanche. Avec ses mains sur le rebord de la fenêtre et son nez juste au-dessus, elle voit le grand groupe d’hommes passer comme une fille de 3 ans. Les hommes sont gardés par des gardes de l’asile qui circulent devant et derrière le groupe. Les prisonniers portent tous le même costume marron.



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