Il reste maintenant le sceau final : feu vert à la loi qui autorise le réaménagement et l’agrandissement de jusqu’à 25 pour cent des hôtels de bord de mer, à condition qu’ils soient cinq étoiles. Mais aussi la construction de mezzanines ou la réhabilitation de greniers ou de caves.
L’approbation de la disposition qui, comme le soulignent ses promoteurs, “vise à limiter la consommation des sols”, vient du Conseil régional de Sardaigne qui a approuvé (par 25 voix pour et 23 contre) ce qui a été défini comme « l’amendement à l’amendement », c’est-à-dire le chapitre du Connecté à la manœuvre relatifs à l’urbanisme.
Trois directions
Les règles proposées par le Conseil s’appuient sur trois orientations : « la limitation de la consommation des sols, le respect de l’environnement, l’adaptation de l’offre touristique aux nouvelles normes requises ». «Dans un extrême ouest où, en regardant les milieux côtiers, seulement 27 Communes sur près de 110 ont adapté le Puc au Ppr – a souligné en classe le conseiller aux Collectivités Territoriales Aldo Salaris – nous nous sommes fixés pour objectif de requalifier et d’aménager mieux aborder les volumes avec une idée précise de la Sardaigne, calibrée sur un développement durable et durable».
Récupérer 25 % de volume
La nouvelle mesure approuvée prévoit que municipalitésen adaptant les outils d’urbanisme au Plan Régional du Paysage, “suivant l’objectif de promouvoir le réaménagement des établissements côtiers et le renforcement et la diversification de l’offre touristique”, peut récupérer 25 pour cent de la capacité volumétrique auparavant “gelée” de la côte garde «toujours et seulement en adaptant le Puc au Ppr».
Nouveaux hôtels 5 étoiles
C’est là la nouveauté : les volumes récupérés « doivent être destinés exclusivement la construction de nouveaux hôtels 5 étoiles ou plus à condition qu’ils soient situés au-delà de la portée de 300 mètres de la mer, réduite à 150 mètres pour les petites îles. En principe, toutes les municipalités qui ont atteint 50 pour cent des volumes (comme l’a établi la garde-côte), peuvent programmer 25 pour cent des 50 pour cent restants inutilisables jusqu’à présent”. Un exemple : “Si une commune a déjà engagé 90 pour cent, elle pourra disposer de 25 pour cent sur seulement 10 pour cent des volumes résiduels.”
Il faut démontrer le besoin de nouveaux lits
L’appareil obtient une sorte de discontinuité avec le passécomme le souligne le conseiller des collectivités locales : « Contrairement à l’offre aveugle de volumes proposée dans le passé, la prévision des nouvelles structures est contextualisée car subordonnée à la démonstration du besoin de lits supplémentaires et à la vérification de la compatibilité. de la charge durable du littoral ».