Les organisateurs de grands événements sportifs à l’étranger suivent avec beaucoup d’intérêt le plan de mobilité pour le Grand Prix des Pays-Bas, qui se tiendra à Zandvoort pour la troisième année consécutive le week-end prochain. Par exemple, le comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris a de nombreux contacts avec le GP des Pays-Bas.

Robert van Overdijk, directeur du Grand Prix des Pays-Bas : « Ils ont les mêmes problèmes, c’est pourquoi nous nous parlons régulièrement tout au long de l’année. » Pendant le week-end de course, environ 100 000 visiteurs viennent chaque jour sur le circuit pendant trois jours.

À vélo

« 37 pour cent de ces visiteurs viennent à vélo », explique Van Overdijk. « Ces images ont voyagé dans le monde entier. Surtout après la première édition, il y a eu beaucoup d’intérêt de l’étranger. »

Non seulement « Paris » veut apprendre de Zandvoort, mais les organisateurs d’autres courses de Formule 1 veulent également apprendre quelque chose du Grand Prix des Pays-Bas, explique le directeur. « Les images de l’implication des supporters orange, qui agitent en masse des drapeaux, font le tour du monde. D’autres Grands Prix le souhaitent désormais aussi. »

Exemple de fonction

Selon Van Overdijk, le Grand Prix des Pays-Bas est désormais devenu un exemple mondial dans le domaine du divertissement, de la durabilité et de la mobilité. Zandvoort sera fermée à la circulation automobile à partir de jeudi matin. Les 105 000 visiteurs quotidiens se ruent alors vers la station balnéaire à vélo ou en train.



ttn-fr-55