La soirée de camaraderie peut encore avoir lieu, le Conseil d’État passe outre l’interdiction de la Ville d’Ypres


La soirée de camaraderie peut encore avoir lieu, le Conseil d’État passe outre l’interdiction de la Ville d’Ypres

Egwin Six, Assemblée générale de l’Yserwake : « Le Conseil d’État a clairement indiqué que nos droits constitutionnels à la liberté de réunion et le droit à la liberté d’expression restent intacts. Le Conseil d’État a accepté toutes nos ressources. Le permis a en effet été demandé dans les délais. Toutes les informations nécessaires ont été données. La charte signée (dd. 16/6/2023) – avec un commentaire qui n’a jamais été retiré – pour l’Yserwake s’applique naturellement aussi à la soirée Camaraderie.

« En fait, ça fait du chemin qu’une organisation doit aller au Conseil d’État pour pouvoir organiser un cantus ‘régulier’ avec un DJ par la suite. Après avoir reçu la demande, la ville d’Ypres n’a fait que rendre les conditions de plus en plus étroites jusqu’à ce que plus rien ne soit possible. En fin de compte, la ville d’Ypres devait déjà savoir quelles chansons du codex étudiant seraient chantées et quels numéros de musique seraient joués. Aucune autre association ne s’est jamais posée cette question, et elle tend vers un contrôle antidémocratique, indigne d’un Etat de droit. La pression politique de la gauche, du « collectif de la paix » et du syndicat sur le conseil de la ville d’Ypres a dû être vraiment forte pour vouloir restreindre le droit fondamental à la liberté d’expression et le droit fondamental de se réunir.

Nancy Six, VZW IJzerwake : « Maintenant, nous avons enfin eu raison du Conseil d’État. Notre organisation en est bien sûr très satisfaite. Tout était déjà sur le point, donc finalement il est maintenant temps de compter jusqu’à la prochaine week-end. À 19 heures, les gorges seront lubrifiées et des chansons seront chantées.

Réponse du maire

Bourgmestre Emmily Talpe : « La ville d’Ypres vient de prendre acte de la décision du Conseil d’État concernant la soirée de camaraderie. Le juge a statué que la soirée de camaraderie peut se poursuivre. Cela signifie que nous devons retirer le refus précédent et que le permis doit être Cependant, le conseil municipal continue de soutenir ses préoccupations et la demande de respecter la charte de la paix les deux jours. Ypres est la ville de la paix par excellence et nous voulons y veiller. Bientôt, je serai assis avec la police d’Arro Ieper zone afin de surveiller le déploiement de la police. discuter.

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