Cadastre, bots, fermages et fermages : où en est le texte de la délégation et les positions des parties

Le terrain (pour l’instant) fermé au cadastre

Puis il y a un nœud qui, après avoir enregistré mur contre mur, a enregistré un accord. C’est le thème du cadastre : Lega et FI sont de l’idée qu’avec la délégation fiscale de nouvelles taxes sur la maison découleront de l’article 6 : la réforme du cadastre vise à faire ressortir les propriétés “fantômes” et au paragraphe 2 ( les plus contestés) pour ajuster les loyers cadastraux aux valeurs de marché d’ici 2026. La délégation exclut les répercussions fiscales directes mais la réforme pourrait concerner 39 millions de personnes et 1,5 million d’entreprises. Après l’aut aut du gouvernement, cet article a été approuvé en commission il y a un mois, pour un vote unique. Cela est considéré comme “une blessure” par Lega et FI, qui pointent désormais leurs pieds selon l’axe défini ces derniers jours par Matteo Salvini et Silvio Berlusconi, au nom du “non aux nouveaux impôts”, sur la maison, sur les loyers et sur les obligations d’État.

Le double système

En ce qui concerne le premier point, à savoir le système dual, le statu quo de Lega et FI a été déclenché lorsqu’ils ont reçu le document établi par la Mef et lu, en référence à l’article 2 du texte de base de la procuration (celui qui concerne la révision du système d’imposition des personnes physiques sur le revenu), que l’évolution progressive et tendancielle du système vers un modèle pleinement dual se serait produite, également par “l’application, une fois pleinement opérationnelle, du même taux d’imposition proportionnel et, à titre transitoire base , de deux taux d’imposition proportionnels, aux revenus provenant de l’utilisation du capital, également sur le marché immobilier ». L’amendement, tel que modifié par le ministère, est surtout soutenu par Italia Viva et le Parti démocrate. Selon la Ligue, cependant, l’introduction du système dual dans le régime fiscal italien conduirait à une suppression progressive de tous les régimes à taux forfaitaires et proportionnels pour des millions de contribuables. D’une part, rappellent les députés de la Ligue du Nord, l’imposition unique au taux proportionnel pour tous les types de revenus n’existe que dans les pays scandinaves ; d’autre part, le système fiscal italien prévoit déjà divers impôts forfaitaires ou proportionnels qui fonctionnent bien, diversifiant les différentes bases d’imposition. Bref, l’idée est “lunaire, folle et démagogique”, a tonné la Ligue du Nord. Ce qui inquiète Lega et Fi, c’est donc avant tout le fait qu’avec un mécanisme de double imposition il pourrait être possible de décréter la fin des impôts forfaitaires comme la taxe forfaitaire sur les loyers, chère aux deux forces politiques.

C’est pourquoi la réorganisation des impôts sur les plus-values, plus connues sous la rubrique “revenus financiers”, est devenue, au fil des heures, un véritable nœud politique substantiel, qui a contribué à déterminer l’impasse.

Les décrets d’application et l’ombre d’une augmentation de la pression fiscale

Le deuxième nœud est celui des avis contraignants des commissions sur les décrets d’application. Dans le texte reformulé par le ministère de l’Economie, rappelons-le, une clause est déjà prévue qui en fait ne permet pas aux décrets d’application de la délégation fiscale de déterminer une augmentation de la pression fiscale.

Marattin : pas d’appel de la commission des finances, une clarification politique s’impose

Au lendemain de la séance qui a enregistré un énième affrontement politique au sein de la majorité, le président de la commission des finances de la Chambre Luigi Marattin (Iv) a renvoyé l’affaire au Palazzo Chigi pour une clarification politique, annulant toutes les convocations de la Commission. Désormais, la balle revient au Gouvernement : “Vous pouvez faire confiance – a-t-il expliqué – pour que le texte soit envoyé à la Chambre le 19 avril, comme il est fixé, sans mandat au rapporteur, ou retirer la réforme”. A Draghi la tâche de venir à bout de l’aut ou de l’aut au sein de la majorité et de débloquer l’examen de la disposition sur le fisc. Le premier ministre est appelé à servir de médiateur. Encore une fois.



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