RUNDFUNK BERLIN-BRANDENBOURG Clôture du tournage de « Tina mobil » (AT) – la nouvelle mini-série rbb Début décembre, les derniers clichés ont été pris pour la nouvelle mini-série rbb « Tina mobil » (AT). Gabriela Maria Schmeide joue le rôle principal de Tina. En six épisodes de 45 minutes chacun, la mini-série raconte l’histoire parfois drôle, parfois triste d’une femme qui ne veut rien lâcher, dans un environnement peu montré – une histoire d’amour, force, défi et affirmation de soi. Le scénario a été écrit par Laila Stieler et réalisé par Richard Huber. Le tournage a commencé en septembre. Le tournage a eu lieu à Berlin-Weißensee, Beiersdorf-Freudenberg et Bernau, entre autres. La diffusion à la médiathèque de l’ARD et sur « FilmMittwoch im Erste » est prévue pour le 4ème trimestre 2021. – Tina (Gabriela Maria Schmeide) dans son mobile de cuisson. © rbb/Stefan Erhard, gratuit – utilisation selon les termes et conditions dans un contexte éditorial étroit avec le programme rbb mentionné et en nommant « Image : rbb/Stefan Erhard » (S2). rbb Press & Information, Masurenallee 8-14, 14057 Berlin, tél. : 030/97 99 3-12118 ou -12116, [email protected] / Texte complémentaire via OTS et www.presseportal.de/pm/51580
Photo : rbb/Stefan Erhard, Rundfunk Berlin-Brandebourg (rbb). Tous les droits sont réservés.
La plus belle série dite de début de soirée était « Three Ladies from the Grill » avec Brigitte Mira et Günter Pfitzmann dans les années 1970 et 1980. Pendant trois jours, vous pourrez voir Hallodri Pfitzmann livrer des saucisses et les trois teinturières tenir un snack-bar. Heinz Oskar Wuttig et Ulrich del Mestre ont écrit ces copieuses farces berlinoises.
Vous devez y penser lorsque Gabriela Maria Schmeide dans le rôle de Tina Sanftleben traverse le Brandebourg avec sa camionnette de vente
se déplace. Le petit peuple est un genre délicat, car le kitsch est toujours présent. Tina est renvoyée de la grande boulangerie, pour laquelle elle livre des produits de boulangerie depuis vingt ans. Elle ne trouve pas de nouvel emploi et travaille à son compte avec son propre bus. Elle a deux filles et un fils, l’autre fils est mort et son mariage s’est effondré. Le père des enfants est laveur de vitres. Tina a une grande gueule, elle est sentimentale, injuste, déraisonnable, impulsive et débordée, bref : bombe.
Personne ne peut écrire des histoires de tous les jours aussi bien que Laila Stieler
Personne ne peut écrire des histoires de tous les jours aussi bien que Laila Stieler. Depuis « Stilles Land » (1992), elle a écrit des scénarios pour le réalisateur Andreas Dresen, dont « Willenbrock », « Gundermann » et « Rabiye Kurnaz contre George W. Bush ». Il n’y a tout simplement pas de fausses notes dans leurs dialogues. Tina va d’une petite catastrophe à une autre petite catastrophe. Quand « Lütte » est interrogée à l’école sur l’alcool et le trafic de marijuana, Tina fait un plaidoyer comme dans l’américain
salle d’audience du cinéma.
« Tina mobil » est aussi un chef-d’œuvre du casting : Gabriela Maria Schmeide, l’une des meilleures actrices allemandes, sinon la meilleure, irrésistible Berlinoise, enfin, vraiment. Max Hopp joue Kowalski, le gérant caché de la grande boulangerie, qui a les yeux rivés sur Maria, en tant que faune érotique. Steffi Kühnert, Ursula Werner, Monika Lennartz, Carmen-Maja Antoni, AnneKathrin Gummich et Alexander Hörbe appartiennent au cosmos Dresen-Stieler, mais ces grands acteurs ont été embauchés par le réalisateur Richard Huber et la star du casting Simone Bär, décédée en janvier.
Les six épisodes de « Tina mobil » ont été tournés en 2020 ; vous pouvez les revoir dans la médiathèque RBB. Dans trente ans, les gens penseront à elle comme aux « Trois Dames du Grill ».