La direction de Tuinland n’a pas suffisamment protégé les employés contre les comportements transgressifs et le harcèlement sur le lieu de travail. Avec cela, la société Drenthe viole diverses règles de la loi sur les conditions de travail.
Telle est la principale conclusion de l’inspection du travail néerlandaise après une enquête de plusieurs mois dans les quatre jardineries différentes et au siège social de Tuinland à Assen.
Selon l’inspection, l’entreprise a fait trop peu pour prévenir la pression psychologique et les comportements indésirables sur le lieu de travail.
De plus, il n’existe pas de règles de conduite professionnelles, les salariés ne sont pas suffisamment informés sur la conduite à tenir en cas de comportement inapproprié et les managers ne sont pas ou pas correctement formés pour faire face aux comportements indésirables.
L’Inspection souligne qu’il n’existe actuellement aucune procédure de plainte appropriée. Cela devrait être introduit, afin que les employés sachent ce qu’ils doivent faire s’il est question de comportement transgressif.
En outre, l’Inspection constate que le conseiller confidentiel externe de Tuinland n’est pas assez facilement accessible. L’inspection insiste également sur le fait que l’entreprise devrait mener davantage de recherches sur le bien-être des employés.
Tuinland doit prendre des mesures auprès de l’inspection du travail avant le 22 février 2024 pour garantir la sécurité et la santé des employés.
L’affaire a éclaté après que des dizaines d’employés se sont plaints auprès de RTV Drenthe et du syndicat CNV au sujet de l’un des deux administrateurs. Selon le personnel, elle s’est rendue coupable, entre autres, d’injures graves, d’intimidations et de menaces envers des employés.
Après la révélation du comportement transgressif, le directeur a disparu du lieu de travail. Selon la direction pour des raisons privées. Le co-directeur Girbe Drenth a reconnu que les choses n’allaient pas bien dans le passé et a promis des améliorations pour l’avenir.
Dans son rapport, l’inspection du travail n’écrit pas spécifiquement sur le comportement transfrontalier du directeur concerné.
Le Comité central d’entreprise (COR) de Tuinland déclare dans un bref communiqué qu’il reconnaît tout à fait le tableau dressé par l’inspection.
« En réponse au rapport, nous avons principalement de nombreuses questions pour la direction », déclare le président du COR, Gertjan Polet. Le COR publiera une réponse plus détaillée plus tard dans la journée.
La direction de Tuinland n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter.