Par Oliver Ohman
Les blocages climatiques du chaos environnemental dans la capitale – ils deviennent de plus en plus dangereux, y compris pour les membres de la « dernière génération » eux-mêmes. Et donc la police doit proposer de plus en plus d’idées pour les protéger d’eux-mêmes.
► Bon à observer dans les protestations renouvelées vendredi matin. Un adhésif climatique était tellement collé à l’asphalte de l’autoroute urbaine A100 qu’il ne pouvait qu’être retiré. Une couverture a été placée sur lui pour l’empêcher d’attraper des morceaux de pierre volante.
► Un deuxième désordre environnemental a également été protégé de la poussière et de la saleté. De plus, un policier lui a préalablement mis des lunettes de protection et des écouteurs.
► Encore plus dangereux pour la santé : Dimanche, un gâchis environnemental a collé ses doigts à un tuyau en cuivre, qui a ensuite servi à bloquer l’arbre de transmission d’une voiture. L’homme était soulagé – des restes de cuivre restaient sur ses doigts !
L’opération de libération d’une heure dimanche a fait sensation car une voiture était totalement inapte à la conduite et a dû être remorquée – au-dessus d’une vignette climatique encore collée à la route.
Le groupe de secours des pompiers avait été préalablement sollicité. Celui-ci s’est déplacé avec un équipement à ciseaux et a dû soulever la voiture d’autopartage bloquée avec des sacs de levage. Ce n’est qu’alors que les autocollants de climatisation collés à la voiture ont pu être retirés.
Arbre coulé dans la forêt de Berlin
► Pas sans risque non plus : L’occupation des arbres dans la forêt berlinoise de Wuhlheide la semaine dernière. Un utilisateur de fauteuil roulant avait même été tiré ici ! Des experts en escalade spécialement formés du groupe de travail technique de la police ont évacué le camp mercredi.
Plusieurs personnes ont été emmenées hors de cinq cabanes dans les arbres, pour la plupart petites. Une quarantaine de personnes ont quitté le camp de protestation, qui comprenait également une vingtaine de tentes au sol, volontairement, selon la police.
La police a démonté les cabanes dans les arbres. Les employés de la gestion forestière ont déblayé les restes du camp sur le terrain. Au total, 400 policiers ont été déployés.