Chaque année, Gerard van Maasakker présente plusieurs chansons dans le Top 100 du Brabant. L’auteur-compositeur de Nuenen vit maintenant à Gand flamand, mais fait toujours de la musique dans le Brabant. Il est fier de son accent brabançon : « Je trouve juste que c’est beau.

Vous pourriez l’appeler fournisseur du tribunal. En 2022 il était dans la liste des plus belles musiques de notre province avec 6 chansons.

« Quand j’apprends que voter est à nouveau possible, je suis toujours curieuse de ma propre valeur. Est-ce que je compte encore ? » Il dit cela dans l’émission de radio Omroep Brabant Brabants Bont au présentateur Hubert Mol. Mais chaque année, il est toujours dans le Brabant Top 100 avec un grand nombre de chansons.

« Est-ce que je compte encore ? »

Van Maasakkers ne se qualifierait pas de chanteur dialectal. « Le dialecte n’a jamais été une fin en soi. Le brabançon est tout simplement ma première langue », explique-t-il. « Je n’ai appris le néerlandais que plus tard. Quand j’ai commencé il y a 35 ans, j’ai remarqué que je m’exprimais mieux en brabançon.

Les chansons qu’il fait maintenant sonnent différemment de quand il a commencé. « Non, les mots ne sonnent plus aussi brabançons qu’autrefois, mais je chéris mon accent brabançon. Je pense que c’est beau et agréable à utiliser. Et cela fonctionne toujours bien pour moi.

« J’ai d’abord appris le brabançon, ensuite seulement le néerlandais. »

Il ne se qualifierait pas non plus de troubadour. « Je n’ai jamais aimé ce terme, il me rappelle toujours le Moyen-Âge », dit-il en riant.

« Je puise l’inspiration pour mes chansons dans ma propre vie. L’année dernière, j’ai fait une chanson, ‘Making coffee’, qui parle de la démence. Je commence maintenant à rencontrer cela dans mon propre cercle de connaissances et je pense que je devrais en faire quelque chose.

« Derrière la grange est à nouveau d’actualité. »

Lorsqu’on lui demande quelle chanson il aimerait voir dans le Brabant Top 100, Van Maasakkers répond : « Derrière le hangar ». « C’est à nouveau d’actualité. D’une manière différente que lorsque je l’ai écrit. La chanson parle du fils d’un fermier qui apprend que la ferme doit être vendue parce qu’elle n’est plus financièrement viable.

Van Maasakkers : « La chanson touche énormément le présent. Je pense vraiment qu’il doit y avoir un changement dans la façon dont nous interagissons avec le monde, donc il doit absolument y avoir des mesures strictes. Mais je pense tout de suite aux jeunes qui voulaient reprendre l’exploitation mais qui n’en peuvent plus. Que doivent-ils faire maintenant ? Il s’agit des rêves des gens et de leur capacité à les réaliser.

Vous souhaitez voter pour le Brabant Top 100 ? Vous pouvez le faire jusqu’au 16 mai omroepbrabant.nl/top 100. La liste sera diffusée le jour de l’Ascension, le 18 mai de 8h à 18h.



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