ANALYSE. Un défilé avec plus de missiles nucléaires que de chars. Mais Poutine montre surtout à quel point il est seul

Un discours de dix minutes et un défilé qui a duré moins d’une demi-heure. C’est ainsi que Vladimir Poutine a commémoré la victoire de la Seconde Guerre mondiale. Il était impossible de célébrer une autre victoire. Il n’a même pas dit comment il avait l’intention d’y parvenir – bien que le défilé ait eu plus de missiles nucléaires que de chars. Il s’est vautré dans un rôle de victime, a vu son allié le plus fidèle partir tout d’abord et a surtout montré à quel point il se sentait seul.



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