Piquets : "Si on ne change pas de braquet, ce sera difficile de finir dans les quatre premiers"

L’entraîneur des Rossoneri : « Il y a un manque de détermination et de lucidité pour débloquer les matchs, on jette des points qui peuvent coûter cher. Mais la demi-finale de la Ligue des champions est une bonne chose qu’elle arrive… »

Le chiffre d’affaires n’est pas pour ce Milan. Les rotations – sept cette fois – sont évidemment obligatoires pour une équipe qui s’apprête à frapper à la porte d’une demi-finale de Ligue des champions, mais l’écart de performances – techniques et tactiques – entre les premières lignes et les deuxièmes lignes s’est davantage attesté. par ce nul qui s’ajoute à celui de la Roma et complique encore la course à la quatrième place. On pourrait très facilement dire que si De Ketelaere et Diaz n’avaient pas englouti deux buts virtuellement marqués, on parlerait de tout autre chose. Mais ces erreurs font partie d’un triste déjà-vu des seuils de porte du Diable. Tout comme ce match nul allonge la liste des points perdus par les Rossoneri contre des équipes du côté droit du classement (avec Cremonese, c’est à dire, seuls deux nuls sont arrivés).

Marche

Rien à faire, le Milan belge ne décolle pas et rester au sol le jour où, à part Rome, tous les autres concurrents européens directs arrachent les trois points, n’est pas une bonne idée. Le match nul à la fin soigne un peu le classement – en cas de défaite, les Rossoneri se seraient retrouvés septièmes -, mais il fait quand même monter la route vers la Ligue des champions. « Nous sommes déçus de la manière la plus absolue, nous voulions gagner, il y a peu de matchs et si nous ne changeons pas de vitesse, nous aurons du mal à atteindre le top quatre – a déclaré Pioli après le match -. Maintenant, nous devons être bon pour transformer la déception en détermination. Le rythme que vous changez en gagnant ». Ensuite, une analyse sur les deux mi-temps : « En première, on a mis en pratique tout ce qu’on avait préparé, même si je m’attendais à un peu plus de profondeur. On a bien géré le ballon, contrôlé le jeu, puis c’est clair que si on ne le fait pas Si vous parvenez à le débloquer, tout devient plus difficile. En deuxième mi-temps, ce que je n’ai pas aimé, nous avons voulu décider du match individuellement et nous avons perdu le fil logique.

tu mérites

Quel est le plus gros problème du diable. Pioli témoigne : « En ce moment, il y a un manque de détermination et de lucidité pour débloquer les matchs. Il faut être plus incisif et précis. On jette des points qui peuvent coûter cher en championnat. Pourtant, l’équipe n’est pas fatiguée, J’ai vu une équipe avec beaucoup d’énergie. Si la Ligue des champions qui arrive est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Bon, c’est évidemment une bonne chose, ça fait combien d’années qu’on n’a pas joué une demi-finale. « Nous méritons cette situation et nous voulons continuer d’essayer.



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