La question est de savoir quand les opérateurs de moteurs de recherche tels que Google, filiale d’Alphabet C, sont obligés de supprimer les liens vers des articles douteux à la demande de la personne concernée.
Dans l’affaire, un couple du secteur des services financiers se sent discrédité par un site Web américain. Les plaignants veulent s’assurer que les articles n’apparaissent plus dans la liste des résultats lorsque vous recherchez leurs noms. Même les photos de vous de l’un des articles ne devraient plus apparaître sous forme de petites images d’aperçu (« vignettes »). Google a refusé de le supprimer. Vous ne pouvez pas juger ce qui est bien et ce qui ne l’est pas.
Le BGH avait déjà négocié la procédure en 2020 et s’est ensuite tourné vers la Cour européenne de justice (CJE) avec des questions. L’arrêt Luxembourg est maintenant disponible. Les négociations se poursuivront sur cette base. Qu’il y ait déjà un verdict est ouvert.
Dans les transactions NASDAQ avant commercialisation, les actions Alphabet ont temporairement perdu 0,41% à 105,54 euros.
KARLSRUHE (dpa-AFX)
L’effet de levier doit être compris entre 2 et 20
Pas de données
Plus d’actualités sur Alphabet C (ex Google)
Sources des images : Denis Linine / Shutterstock.com, Naypong / Shutterstock.com