Avec un rapport RIVM assez accablant derrière nous et probablement une réunion émotionnelle des résidents à venir, il y a aussi eu un soi-disant «die-in» aux portes de Tata Steel aujourd’hui. C’est une manifestation où les militants font semblant d’être morts. Environ 30 personnes du groupe d’action Kappen rencontré Kolen ont bloqué la route d’accès au site de l’entreprise à partir de 12h00 pendant l’alarme anti-aérienne.
Selon le coordinateur Peter Jamin, l’action Kappen met Kappen vise à encourager le gouvernement en général à lutter contre l’utilisation du charbon, mais aussi à augmenter la pression sur Tata Steel pour qu’elle ferme la ou les cokeries. Les cokes sont fabriqués à partir de charbon.
Tata Steel se défend en déclarant que “l’entreprise veut aussi réduire le charbon”. Plus tard cette année, selon le porte-parole Peter van Boesschoten, « les premiers permis doivent être soumis pour la construction des usines vertes ». La cokerie 2 devrait fermer vers 2030 et la cokerie 1 quelques années plus tard.
L’action s’est bien déroulée aujourd’hui. Cela n’a pas beaucoup dérangé les employés de Tata Steel, un contrôleur de la circulation les a dirigés vers une autre entrée à proximité. Deux fourgons de police l’ont appelé un jour peu après le début de la manifestation. L’un est venu une heure plus tard pour regarder de plus près.
Déclarations discutables
Ce week-end, des membres du comité d’entreprise et d’autres salariés de Tata Steel ont été discrédités par des déclarations douteuses. Dans des groupes Facebook et WhatsApp fermés, ils ont dit à propos de la campagne Kappen met Kolen: “Il suffit de rouler dessus”, “Arbeit macht frei” et “un tour en fer liquide chauffé au rouge”.
Le vice-président du comité central d’entreprise, Gerrit Idema, a tapé : « Directement dans le four, ça ne puera pas ». Il a depuis présenté ses excuses. Kappen a rencontré Kolen a demandé son départ sur Twitter, comme tous ceux qui ont fait ces déclarations.
Gestion d’usine a désapprouvé les déclarations et envisage toujours des étapes.
Ce n’est pas le seul problème concernant Tata Steel qui joue actuellement. La semaine dernière, il a été annoncé que la même quantité de poussière grossière toxique de Tata Steel se dépose toujours dans l’environnement comme lors de deux mesures précédentes en 2020 et 2022. C’est ce qui était publié à l’époque Rapport RIVM. Demain soir, il y aura une assemblée des résidents, au cours de laquelle les citoyens pourront poser des questions aux politiciens provinciaux et locaux au sujet du rapport.
Remarque : Une version antérieure de cet article indiquait que « les premiers permis pour les usines vertes seraient approuvés plus tard cette année ». Cela devrait être “soumis”, comme il est dit maintenant.