Martin apprivoise les plantes sauvages pour le jardin : "Bien sûr, ce sont des fauteurs de troubles"

Certaines plantes ont des conditions de survie très spécifiques. S’il n’y en a plus, les plantes meurent. Même dans la pépinière de Martin Stevens, il n’est pas toujours possible de faire pousser certaines plantes. L’entreprise de Kortenhoef est un terrain d’essai pour la culture de plantes sauvages, et cela suscite un intérêt croissant.

des volontaires aident à la culture de plantes sauvages – Marc Ruyg/NH News

En tant que garde forestier, Martin Stevens a passé toute sa vie dans la nature. Après sa retraite, il a redonné vie à une ancienne pépinière où il cultive des plantes spéciales avec un groupe de bénévoles. Ici, la nature est épaulée et les plantes qui poussent à l’état sauvage sont cultivées.

« Bien sûr ce ne sont que des fauteurs de troubles, chacun avec son mode d’emploi »

Martin Stevens – cultiver des plantes sauvages

La pépinière n’est pas une véritable entreprise, mais une sorte de terrain d’essai où les gens acquièrent de l’expérience dans la culture de types particuliers de plantes sauvages. « Bien sûr, ce ne sont que des fauteurs de troubles », explique Martin, « et ils ont tous leur propre mode d’emploi. » Les connaissances acquises ici sont partagées avec les jardiniers. On s’intéresse de plus en plus aux plantes sauvages du jardin, mais tout le monde n’a pas la bonne connaissance de ces plantes.

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Chaque plante commence par une graine – Marc Ruyg/NH News

Les plantes sauvages sont cultivées sans l’utilisation de pesticides, mais cela signifie que certaines plantes sont la proie des champignons. Martin pense que vous devriez en tenir compte. Selon l’ancien garde forestier, il ne faut pas trop chouchouter les plantes sauvages. Si vous enlevez quelques tuiles, vous pouvez simplement placer les plantes dans le sable blanc. « Ils partent ensuite eux-mêmes à la recherche de nourriture et s’enracinent parfois jusqu’à des mètres de profondeur. »

Bien que Martin ne soit pas du genre à s’inquiéter immédiatement, il est pessimiste quant à l’état de la nature. « Nous voyons que cela se détériore rapidement. Si vous dites ‘c’est sans espoir’, quoi que ce soit, vous pouvez vous asseoir avec les costumes. Mais vous pouvez aussi penser : ‘J’essaie quelque chose’. » Et avec les bénévoles, Martin essaie de donner un coup de main à la nature.

Martin Stevens est le moteur de Kas&Co – Marc Ruyg/NH News

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