« Ce n’est pas aux politiques de s’immiscer dans la conception d’un théâtre », écrit le ministre flamand des Médias Benjamin Dalle (CD&V) dans une tribune sur le tapage autour des portraits « réveillés » à Anvers. Dalle se moque également du bourgmestre d’Anvers Bart De Wever (N-VA), qui a publié un livre sur le réveil au début de ce mois. « J’attends toujours le premier exemple de la façon dont nos libertés sont restreintes parce que nous ne sommes plus ‘autorisés’ à dire quelque chose. »
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