Il y a 256 maisons dans le parc. Trois travailleurs migrants sont autorisés à vivre dans les maisons d’origine pour six personnes. Dans une autre partie, les maisons d’origine pour quatre personnes, deux travailleurs migrants peuvent vivre. Au total, il y a de la place pour 575 travailleurs migrants dans le parc. « Je dois être honnête : tout ne peut plus être réparé », déclare Knol. « Mais nous rénovons actuellement environ deux cents maisons pour notre groupe cible. »

Knol travaille pour l’agence pour l’emploi Uniepool et rencontre des résistances partout dans son travail. « C’est un problème permanent. Nous existons depuis près de vingt ans et c’est un goulot d’étranglement permanent. Nous pouvons attirer les gens, les clients sont là, mais loger ces gens est difficile. Vous rencontrez des problèmes partout. pas dans mon jardin. »

Il en est de même du village pipo à Orange. Après diverses idées passées en revue, les propriétaires ont décidé il y a près d’un an et demi de se concentrer sur le logement des travailleurs migrants. Le plan est d’avoir au moins une centaine de maisons pleines d’ici mai. Le reste sera réalisé après ce délai.

La commune de Midden-Drenthe n’apprécie pas l’arrivée de travailleurs migrants. Dès l’entrée des premiers travailleurs migrants dans le parc en janvier 2022, la municipalité procède à des contrôles. Elle a également imposé une ordonnance sous astreinte aux propriétaires. Injustifié, a dit le juge. Selon le plan de zonage, les chalets, qui sont destinés à la récréation, peuvent être utilisés temporairement par des personnes ayant leur résidence principale ailleurs. L’affaire est toujours en appel. Les propriétaires n’attendent pas le verdict en appel avec leur agrandissement.

Dommage, Knol appelle la situation. Selon lui, la municipalité et l’économie sont très dépendantes des travailleurs migrants. « Nous avons ici un centre de distribution Jumbo où de nombreux étrangers travaillent et de nombreuses terres agricoles où les gens récoltent la récolte de la terre, alors facilitez-la maintenant. »

On estime que 500 à 1 000 travailleurs migrants travaillent dans la Drenthe centrale. Seuls 167 d’entre eux sont connus. Cela cause des problèmes, a dit la municipalité plus tôt. Certains sont placés par des employeurs et des agences d’intérim, par exemple dans des maisons de villages. Ceci est contraire aux plans de zonage et, selon la municipalité, n’est pas bon pour le voisinage.

Knol : « Nous pouvons faire beaucoup ici. Bientôt, nous n’aurons plus besoin d’acheter des maisons à Smilde ou Beilen pour loger nos gens. C’est possible ici. »

Au niveau national, des efforts sont déployés pour améliorer les conditions de vie des travailleurs migrants. Beaucoup de gens vivent dans la rue ou dans de mauvaises conditions, selon la Fondation Barka, une organisation d’aide aux travailleurs migrants européens sans abri, au début de cette année. Cependant, les tentatives d’amélioration se heurtent souvent à la résistance des municipalités et des environs.

La municipalité de Midden-Drenthe travaille également sur de nouvelles exigences pour l’hébergement des travailleurs migrants. Pour le village de pipo, la municipalité maintient sa position selon laquelle le parc n’est pas adapté à l’hébergement des travailleurs migrants, mais est destiné aux loisirs. Dans une réponse, la municipalité a déclaré qu’elle attendait l’appel.

Pendant ce temps, les investissements des entrepreneurs se poursuivent. Le parc compte déjà près d’un million d’euros et de nouvelles maisons sont rénovées chaque jour. On parle aussi du retour du supermarché au parc. Pour que les locataires puissent bientôt se ravitailler dans le quartier. « Les choses vont vite. Au cours des trois dernières semaines, nous avons loué environ 41 maisons supplémentaires », déclare Knol.

En plus des travailleurs migrants, des réfugiés ukrainiens vivent également dans le parc. Selon les propriétaires, ils peuvent rester pour le moment, même s’il leur a été demandé de chercher une nouvelle maison à long terme. Knol préférerait ne pas avoir différents groupes cibles dans le parc.



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