La commune d’Oss a aménagé un terrain de korfball en travers d’un terrain de football, car un tel «terrain combiné» coûtait 14 000 euros moins cher. Le terrain de korfball en gazon synthétique a coûté 34 000 euros. Aménager le terrain de football qui s’y trouvait déjà coûterait 20 000 euros supplémentaires. Cela porte le coût total à 54 000 euros au lieu de 68 000 euros pour deux champs distincts.

Sur le « terrain combiné », vous pouvez jouer au football à un moment donné, puis au korfball. Le chevauchement réduit les coûts. La partie centrale appartient à la fois au terrain de football et au terrain de korfball.

Après les critiques du voisinage, la commune d’Oss a décidé de déplacer à nouveau le terrain de korfball. À la fin de ce mois, les résidents se verront présenter un nouveau plan pour le terrain tant discuté.

Cher
La construction du nouveau terrain de korfball a coûté 34 000 euros. Aménager le terrain de football en posant du gazon artificiel sur les parties de part et d’autre du terrain de korfball coûterait 20 000 euros supplémentaires. Ainsi, le plan initial aurait coûté 54 000. C’est 14 000 euros moins cher que la construction de deux champs séparés. Car deux champs séparés auraient coûté 68 000 euros à la commune.

Néanmoins, le champ combiné s’est avéré coûteux rétrospectivement : après de vives critiques du voisinage, il a été décidé qu’il y aurait toujours deux champs distincts. Le terrain de football restera là où il est aujourd’hui. Les deux terrains seront en gazon synthétique. Les coûts sont toujours à l’étude.

Terrain de football sous le terrain de korfball
Le terrain de korfball du Spieakker à Oss a fait beaucoup de bruit dans le quartier le mois dernier. Soudain, il y avait un terrain de korfball à travers le terrain de football. Le quartier a été assez surpris par cet ajustement. Cela a entraîné de nombreuses critiques de la municipalité, notamment parce que les poteaux de korfball provoqueraient des situations dangereuses pour les joueurs de football.

Le terrain de korfball a été créé suite à la demande de deux enfants dans une lettre adressée à la municipalité. « On s’est mis au travail avec ça. Rétrospectivement, on peut conclure qu’on a fait ça un peu trop vite. Certains riverains n’étaient pas très contents de ça », a déclaré le porte-parole municipal fin février.



ttn-fr-32