L’agence de renseignement militaire ADIV doit faire moins pour garantir plus de sécurité et prévenir des affaires comme celle de Jürgen Conings

Dans le passé, le service de renseignement militaire ADIV en faisait trop avec trop peu de monde. Sur la base de cette analyse, le vice-amiral et haut responsable de l’ADIV Wim Robberecht a présenté mercredi son plan d’urgence pour le service au parlement à huis clos. Sa conclusion : « Si nous n’avons pas les moyens nous-mêmes, nous travaillons avec la sécurité de l’État et la police, mais surtout avec des partenaires internationaux. » L’ADIV travaillera également plus étroitement avec les tribunaux pour prévenir de nouvelles affaires comme celle de Jürgen Conings. C’est ce que dit Robberecht dans De Standaard.



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