Si les partis politiques étaient cotés en bourse, la bourse des partis flamands est devenue rouge sang la semaine dernière. Comme lors de la débâcle de Marrakech du gouvernement Michel, la crise de l’azote est pavée de perdants. Les vainqueurs sont la droite radicale et la gauche radicale, qui n’ont plus qu’à attendre les élections de 24 sur une chaise longue.



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