"Payez votre dette ou je vous tire dessus". Alors le vestiaire des sorciers est devenu un Far West

En 2009, une bagarre autour d’un jeu de cartes s’est transformée en un duel armé entre Arenas et Crittenton. C’était le début de la fin de leur carrière

Les Américains et les armes à feu, une histoire d’amour (et forcément de mort) à laquelle personne n’a jamais pu mettre un terme. Bien sûr, quand il suffit d’aller au supermarché avec un paquet de dollars et d’en ressortir avec un fusil semi-automatique (dramatisation mais pas si éloignée de la réalité…), en faisant étalage du deuxième amendement à la constitution, écrit en 1791, donc dans des circonstances très différentes, et qui se lit comme suit : “Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d’un État libre, le droit des citoyens de détenir et de porter des armes ne doit pas être violé”, trouvent deux joueurs de la NBA plaçant leurs pistolets bien en vue dans devant les casiers dans le vestiaire, eh bien, ce n’est pas si étrange.



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