Jacques J. d’Ancône voit en Alex Roeka notre propre Jacques Brel | avis ★★★★★

Alex Roeka, un gros programme. Juste derrière Reyer Black. Photo : Peter Beijers

Il chante des rêves qui caressent et grattent. Le ton est souvent rugueux. Certainement pas un chanteur doué. Au contraire. Toutes ces années, pas à pas, j’ai cherché ma place. C’est incontestablement au théâtre, mais vous ne le trouverez pas dans le domaine des chansons d’amour enthousiastes. « L’amour…, quelle misère c’est. »



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