« Entourée de photos de parents, d’enfants et de petits-enfants, elle s’est finalement endormie », écrit Van Roosmalen mardi. « Elle a prononcé ses derniers mots il y a quelques semaines entre deux cuillères de bouillie. ‘Ce n’est plus nécessaire.' »
« Pour elle, la mort était désormais un ami qui annonce sa visite à chaque tournant, mais quelque chose s’intercalait toujours. » Il « lui a donné la mort », poursuit le chroniqueur. « Je pense que j’ai été soulagé quand j’ai appris la nouvelle. Mais face à la réalité (…) la perte m’a quand même bouleversé. »
« C’est fini maintenant », écrit Van Roosmalen. « Sa statue de Marie est sur notre cheminée. Elle a l’air très ordinaire, très différente d’avant. La magie n’était pas dans la pierre, mais dans Paula van Roosmalen-Breekelmans. »