Albert Verlinde se fiche de ce que les twitters et les médias ont à dire sur lui. Il n’écoute que l’opinion de deux personnes; l’un d’eux est son vilain mari Onno Hoes.
De nombreuses célébrités disent qu’elles ne se soucient pas des réseaux sociaux et n’écoutent que les personnes de leur entourage. Albert Verlinde est aussi l’un d’entre eux. « J’ai appris une fois de l’actrice Mary Michon : ‘Dans un studio comme celui-là, tu penses que tout le monde parle de toi. Vous devez donc décider par vous-même : je n’écoute que deux personnes », dit-il dans l’ANNONCE†
Albert boycotte Twitter
Albert tourne le nez à ce que les Twitterers pensent de lui. « Oui. Réseaux sociaux : je les ignore. Si nous n’y prenons pas tous garde, ceux-ci deviendront les nouveaux limiteurs de notre liberté d’expression. Toutes ces voix, ces opinions : je ne peux rien faire avec elles. »
Avant, c’était différent, admet Albert. « Au début, quand Twitter et Facebook étaient nouveaux, je lisais tout. Et puis j’ai pensé : si je fais ceci, ou ceci ou cela, ils vont m’aimer. J’ai fait de mon mieux comme un chien. Mais ce n’est jamais bon. »
Émeute Humberto
Qui Albert écoute-t-il, par exemple lors de la récente émeute entourant ses déclarations bizarres sur Humberto Tan ? « Onno ou mon rédacteur en chef, les deux personnes que j’écoute, n’avaient pas à me le signaler. J’ai aussi réalisé que j’étais allé trop loin.
Est-il vrai que malgré l’émeute des toyboys de 2014, Albert est toujours au lit avec Onno, le vice-président du parti du VVD, qui à ses heures perdues joue une sorte d’Arie Boomsma trop âgé sur Instagram ? « Nous nous sommes dit, ainsi qu’à la presse : je n’en dirai plus rien. »