Depuis un an, l’opposition à la fermeture éventuelle de la caserne d’Assen, où travaillent environ un millier de soldats, est considérable. Cette fermeture a également plané sur Assen comme une épée de Damoclès jusqu’au petit matin Le télégraphe a révélé que la caserne de la capitale de Drenthe pouvait encore rester ouverte, bien que sous une forme légèrement allégée.