L’une des conditions de la municipalité est ‘que le nouveau quartier doit répondre à la demande actuelle de logements. Il doit s’agir de logements abordables et disponibles rapidement.
“Lors de l’élaboration de la nouvelle vision du logement, il s’est avéré que de nombreux jeunes veulent acheter”, explique l’échevin Stegen. “Mais il y a aussi beaucoup de demande de logements locatifs (sociaux).”
La municipalité souhaite donc construire environ 50 % de logements en propriété et 50 % de logements locatifs ou sociaux. “Mais il est aussi possible qu’il y ait un pourcentage de loyer plus faible”, précise l’échevin. “Rien n’est encore coulé dans le béton.”
Le soir du rendez-vous, il apparaît qu’une rumeur circule selon laquelle la moitié ou plus des logements locatifs sociaux du nouveau quartier sont destinés à des titulaires de statut. Mais ce n’est pas l’intention, selon Stegen. “Bien entendu, le loyer social est également destiné aux titulaires du statut de groupe cible et nous n’écartons pas la possibilité que certains logements leur reviennent, mais pas au moins la moitié”, assure l’échevin.
“La municipalité veut créer un quartier avec beaucoup de diversité, une mixité où il y a de la place pour tout le monde de Coevorden, ce qui crée une pollinisation croisée et une naobership”, poursuit Stegen. “De toute façon, on ne construira plus des quartiers Vinex, avec tous les mêmes types de logements en propriété et de personnes. Ce n’est plus d’aujourd’hui.”
Rieja Raven, chef de projet Ossehaar C de la municipalité de Coevorden, sera au concept one toute la soirée pour parler aux habitants. “Il y a beaucoup de questions, pour la plupart positives et nous en sommes très heureux.”
Tous les commentaires seront recueillis à la fin de la soirée. En mars, un nouveau dessin sera présenté sur la base de ces commentaires lors d’une nouvelle soirée sans rendez-vous.
“Et si tout se passe bien, nous espérons pouvoir commencer à construire dans environ un an et demi”, déclare Raven, chef de projet. “Et cela semble long, mais c’est comme ça que ça marche dans ce pays.”