Le coureur kenyan a de nouveau été arrêté pour dopage et falsification de preuves.
ZUMAwire/MVphotos
coureur kenyan Betty Wilson Lempus a été interdit de compétition pendant cinq ans. Il a été surpris en train d’utiliser des substances interdites et a tenté de falsifier des preuves.
L’Athletic Integrity Unit (AIU), qui supervise l’éthique de l’athlétisme, a annoncé la question jeudi.
Tous les résultats Lempus effectués après le 5 septembre 2021 ont été invalidés. L’interdiction du Kenya expirera en octobre 2027.
Lempus a donné un échantillon de dopage positif le 5 septembre 2021 après avoir remporté le semi-marathon de Paris. De l’acétonide de triamcinolone a été trouvé dans son échantillon, ce qui affecte le métabolisme et prévient l’inflammation.
Les autorités antidopage françaises n’ont pas inculpé le coureur de violation de dopage, car il a expliqué qu’il avait reçu de l’acétonide de triamcinolone par injection alors qu’il était hospitalisé au Kenya en août de la même année.
En juin 2022, l’hôpital a déclaré que Lempus était traité, mais n’avait pas reçu la substance en question par injection.
Lempus avait falsifié des documents liés à l’hospitalisation. Le médecin par lequel le coureur prétend avoir été soigné ne travaille même pas dans cet hôpital.
Lempus a admis avoir falsifié les preuves de l’enquête antidopage.
Chariots similaires
Kenyans Diana Kipyokei et Pureté Rionoripo ont été pris dans une escroquerie similaire en décembre.
La même substance a été trouvée dans l’échantillon de dopage de Kipyokei que dans celui de Lempuk.
Les coureurs essaient d’expliquer le chariot avec des documents officiels. Kipyokei, qui a remporté le marathon de Boston, avait falsifié les dossiers de traitement hospitalier, la prescription de Rionoripo. Rionoripo a été pris sous furosémide, qui est classé comme diurétique.
Kipyokei a été interdit pendant six ans. Le revêtement de Rionoripo dure cinq ans.