Le patron et le chef d’orchestre rencontrent les employés déguisés pour découvrir les forces et les faiblesses de l’entreprise protagoniste, mais pas seulement


près les dragées et les champignons, le voyage de Patrons sous couverture 2023 quitte le secteur alimentaire pour atterrir dans celui de production de cabines de douche, brise-soleil, portes pliantes, systèmes d’ombrage et volets roulants. Le protagoniste de la troisième versement du format Endemol Shine Italie – diffusé ce soir à 21h20 Raï 2est Angelo Pintodirecteur général de Pinto SA.

Patrons sous couverture 2023troisième épisode : l’entreprise et les histoires

Créé il y a trente ans, jusqu’à aujourd’hui l’entreprise compte 250 employés, grâce à laquelle elle produit plus de 300 000 produits par jour. A la fin de l’année, le chiffre d’affaires est d’environ 70 millions d’euros. De plus, il est situé entre trois pôles de production, répartis entre le nord et le sud de l’Italie. Les établissements sont situés à Fidenzadans la province de Parme, à Médigliadans la province de Milan e à Polladans la province de Salerne.

Le pôle dans lequel se déroule la mission d’infiltration est celui de Polla. Angelo Pinto prend le terrain pour travailler en étroite collaboration avec certains de ses employés. Cela commence par Tanya, avec lequel il doit créer des cabines de douche. Ce sera ensuite au tour de Christianqui lui montre comment construire un volet, et de Séléné, en charge du montage et du conditionnement des volets roulants. Encore, Carmen doit composer l’éventail des couleurs.

Aussi cette semaine Max Giusti ne se limite pas à la direction, mais participe activement assumant l’apparence d’un travailleur d’origine chilienne, tel José. Tout comme le Boss, il rencontre l’un des employés de l’entreprise protagoniste. Cette semaine travaille en étroite collaboration avec Giuseppeavec lequel il doit produire une porte pliante.

Max Giusti, aux manettes de « Boss incognito 2023 ». (Porcarelli/Raï)

Max Giusti : « Un Patrons sous couverture on pleure beaucoup »

La liturgie est toujours la même. Pendant une semaine, le patron travaille sous couverture, en contact étroit avec certains de ses employés. C’est-à-dire qu’il entre dans sa propre entreprise, mais en embauchantou une nouvelle identité. En effet, il est plus facile de trouver les forces et les faiblesses si elles sont présentées sous d’autres formes. Au cours de plusieurs jours, se familiarise avec le travailleur auquel il est affecté.

Ainsi, en plus d’observer comment il réalise les différentes étapes préparatoires à la création du produit, il y a place pour une histoire personnelle. Le Boss, en effet, tente d’établir un échange, par le dialogue, avec le salarié, afin de découvrir quelque chose de nouveau sur sa vie privée. Notamment les chutes, les défaites et les obstacles à surmonter. De Boss il devient confident et le risque d’émotion atteint des sommets très élevés.

Invité un Quel temps fait-il dans l’épisode du dimanche 22 janvier, Max Giusti a dévoilé que l’émotion submerge aussi les initiés. « Nous pleurons beaucoup. Pas beaucoup pendant que vous le faites, mais quand c’est là dévoilement». Chaque tranche de Patrons sous couverture 2023en fait, il se termine par la rencontre entre les employés et le patron à l’intérieur du bureau de ce dernier. Aucun d’entre eux ne sait quelle est la raison d’une telle urgence.

Les protagonistes du format

Cependant, une fois assis au bureau du patron, « ils découvrent qu’ils ont été convoqués non pas pour être réprimandés, mais parce que ils sont sur le point d’obtenir un bonus à la place». C’est un moment de grande émotion, dans lequel les défenses de l’employé s’effondrent parce qu’il comprend qu’il s’est confié au propriétaire ou au gérant de l’entreprise.

En ce qui concerne la choix du castingle conducteur précise : «Nous recherchons des personnes qui méritent une belle prime. Quand ils comprennent que c’est leur jour, leur moment, et qu’ils se laissent aller, derrière (les coulisses, éd) même si nous sommes 50, 60 (personnes, éd), tu pleures». Aussi, pour crédibiliser l’opération sur le lieu de travail, les employés sont informés que l’entreprise est présentée dans une émission de télévision.

«Nous arrivons avec des camions entièrement enregistrés par Mission d’emploi. Disons que ça passe sur RaiPlay et que c’est un programme où les personnes qui viennent de perdre leur emploi à cause du Covid sont relocalisées. Alors ils (les protagonistes, éd) sont les tuteurs et ils veulent faire bonne impression sur l’entreprise».

Malgré les camouflages, parfois la couverture est soufflée et le Boss est démasqué. Cependant, ce sont des épisodes sporadiques. Dans la plupart des cas, en fait, la vérité ne sort qu’une fois assis à votre bureau dans le bureau du grand patron.

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