Le partenariat entre Mercedes et Wolff est solide, ils ont besoin d’une voiture rapide et du bon statut

Il est le pilote le plus titré de F.1 et l’un des sportifs les plus riches de la planète. Mais Lewis Hamilton est resté le garçon d’une banlieue londonienne qui a réalisé ses rêves. Aujourd’hui encore, lorsqu’il revient à Stevenage, il roule toujours dans une vieille Mini Cooper, « la voiture de Mr. Bean » comme il le dit, dans une tournée de réminiscence des lieux d’enfance, en passant par la première école, la rue et jusqu’à la maison où il vivait avec ses parents. La racine de sa passion est là, dans cette petite pièce où il avait accroché l’affiche de l’idole Ayrton Senna, avec l’intention de l’imiter un jour. Maintenant qu’il vient d’avoir 38 ans, avec sept championnats du monde et 103 victoires en GP déjà sur son tableau d’affichage, il n’y a plus grand-chose que le champion anglais de Mercedes ait encore à chasser. Pourtant, il n’abandonne pas. Il s’entraîne dans la neige comme s’il s’apprêtait à gravir l’Everest. Prêt à repartir en 2023 avec pour objectif le huitième titre, qui lui permettrait de dépasser le mythe Michael Schumacher.



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