Il s’est terminé par l’engagement de se rencontrer à nouveau La réunion d’une délégation gouvernementale est en cours au Palazzo Chigi avec les gestionnaires de carburant représentant Faib-Confesercenti, Fegica et Figisc-Confcommercio sur l’augmentation des prix de l’essence et du diesel après la proclamation d’un lock-out pour 25 et 26 janvier prochain contre les mesures contenues dans le décret sur la transparence des prix des carburants.

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Jeudi 12 janvier, le sous-secrétaire à la présidence du conseil, Alfredo Mantovano, a annoncé la convocation expliquant qu’elle sert à « écouter leurs raisons et à les comparer avec les mesures que le gouvernement entend adopter et a adoptées ». Outre Mantovano, assistent à la réunion les ministres proposant le décret-loi concernant le secteur, à savoir Adolfo Urso pour l’entreprise et le département made in Italy et Giancarlo Giorgetti pour l’Économie et les Finances. Était également présent le garant de la surveillance des prix, Benedetto Mineo. Alessandro Fantera, responsable des relations avec les managers, participera à la réunion prévue à suivre avec les autres acronymes, entre autres pour Asnali.

La protestation et la convocation du gouvernement

Les dirigeants ont annoncé la décision qui était dans l’air depuis mercredi : grève pour les 25 et 26 janvier, avec une garnison sous Montecitorio. Le but est « de mettre fin à cette ‘vague de boue’ contre une catégorie d’honnêtes travailleurs et d’essayer de rétablir la vérité », ont conjointement expliqué Faib-Confesercenti, Fegica, Figisc-Confcommercio, qui accusent le gouvernement d’augmenter la prix des carburants, déchargeant « la responsabilité sur les managers ».

Cependant, le gouvernement a immédiatement répondu aux allégations. Les mesures adoptées sont contre les phénomènes spéculatifs et « donc pour protéger les distributeurs », l’explication du sous-secrétaire à la présidence du conseil Giovanbattista Fazzolari. « Il n’y a pas de vague de boue contre les propriétaires des pompes à essence et du secteur », avait tenté d’alléger le climat l’autre sous-secrétaire du Palazzo Chigi, Alfredo Mantovano, qui avait annoncé en milieu de journée la décision de convoquer une rencontre avec les syndicats du secteur. « Pour écouter leurs raisons et les comparer avec les mesures que le gouvernement entend adopter et a adoptées », a expliqué Mantovano. Un engagement, celui du gouvernement, qui satisfait en tout cas déjà les dirigeants. « Voyons comment la situation évolue demain », lance le président de Faib-Confesercenti, Giuseppe Sperduto.



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