La police veut interroger la petite (2,5 ans) sur ce qui est arrivé à sa sœur (13 ans), mais comment ça marche ? « Non, il n’y a pas de jouets dans la salle d’interrogatoire »

La seule personne qui sait ce qui est arrivé à la fille assassinée (13 ans) d’Anderlecht est sa sœur de 2,5 ans. Le bambin a été retrouvé sain et sauf, mais en état de choc, dans la voiture de l’agresseur. Elle sera interrogée par la police dans les prochains jours. Mais comment se déroule un tel interrogatoire ? Debra Van den Abbeele, experte en techniques d’interrogatoire des mineurs à la police fédérale, s’explique. « Les parents ne décident pas s’ils sont à l’interrogatoire. C’est le choix de l’enfant, qu’il ait 2 ou 16 ans.



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