Berlin s’attend à un déficit budgétaire de 140 millions d’euros par an


Apparemment, la Chambre des représentants manque également d’énergie. Le débat de jeudi sur l’augmentation des coûts de l’électricité, du gaz, du diesel et de l’essence était largement démotivé.

Ça s’est un peu échauffé quand Frank-Christian Hansel (57 ans, AfD) a dit « Oh, petite souris » à un chahuteur. Puis il y a eu un avertissement du président du Parlement Dennis Buchner (44 ans, SPD) : « La désignation est antiparlementaire ! »

L’AfD avait introduit le sujet de l’heure actuelle : « Réduire les taxes sur l’énergie pour tous les Berlinois ». Selon Hansel, une transition énergétique ratée en Allemagne est à l’origine des prix élevés de l’électricité. Et : « Les prix fous du carburant sont politiquement voulus », ont-ils accusé les Verts.

Christian Wolf (42 ans, FDP) a réclamé au Sénat : « Il faut réduire les dépendances unilatérales. Pour ce faire, le Land de Berlin doit donner la priorité à l’expansion des sources d’énergie durables telles que l’hydrogène.

Christian Gräff (43 ans, CDU) a appelé à un pacte de Berlin pour l’énergie. « Convoquer une table ronde », a-t-il suggéré.

Le sénateur des Finances Daniel Wesener (46 ans, Verts) a attiré l’attention sur les coûts pour la capitale dus aux allègements décidés par le gouvernement fédéral (dont une augmentation de l’indemnité de distance) : « Au total, cela signifie moins de recettes fiscales d’environ 140 millions d’euros par an. »



ttn-fr-27