Le père d’Arno (13 ans) est décédé subitement après une chute. Pourtant, l’homme a pu sauver sept autres vies grâce au don d’organes. Dans notre pays, tout le monde est automatiquement donneur d’organes. Mais que se passe-t-il si un donneur a un mode de vie malsain ? Et la famille sait-elle à qui vont les organes ? Le professeur Arne Neirynck, – président du groupe de travail des donneurs de l’UZ Leuven – et le professeur Eric Hoste – responsable du centre de transplantation de l’UZ Gent – expliquent.
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