La différence entre l’euphorie et le drame réside dans un simple mouvement du pied. Ou cet en-tête. Une fraction de seconde. Un comte qui décide de l’éternité.
Phillip Cocu raconte la Coupe du monde 1998. Un été footballistique mémorable en France. « Le point culminant de ma carrière internationale est aussi le point bas », note-t-il. « Le succès ultime est si proche, mais finalement si loin. »
J’ai pris ce raté très au sérieux. Ce moment passait souvent la nuit